- Pasi Kjell
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Grade : Sergent
#have fun // Pasi
Mer 31 Aoû - 12:20
pasi kjell
ft. united kingdom - APH
AGE — 29 ans SEXE — m ORIENTATION — hétérosexuel CLASSE — épéiste METIER — larbin / ex-pirate CAMP — frilägen GRADE — sergent ARME — épée - tout ce qui lui tombe sous la main |
physique
coucou ?
Taille : 1m78
Poids : 70kg
Yeux : verts
Cheveux : blonds, courts
Signes distinctifs : fêtard, lève-tard, sait se battre avec n'importe quoi qui ressemble de près ou de loin à une arme (comme un pied de chaise)
Vous pouvez, si vous le souhaitez, rajouter une brève description de votre personnage.
caractère
nope
Ton problème ?
Tu es incapable d'être sérieux plus de cinq secondes. Le sérieux, ça ne te va pas du tout, et de toute façon, on ne peut pas vraiment dire que tu aies l'intention de l'être d'une quelconque manière. Tu n'aimes pas les gens trop sérieux, tu les trouves ennuyeux. Toi, tu préfères bouger, profiter de la vie, et accessoirement, faire n'importe quoi. Tu ne tiens en place que parce que tu sais que les grands patrons te le feraient payer si jamais le camp s'effondrait à cause de toi.
Et c'est aussi pour ça que malgré tes qualifications, tu n'as toujours pas de poste de gradé. Tu n'es pas assez sérieux pour être gradé, tu passerais ton temps à utiliser ta paperasse pour allumer ta cheminée l'hiver, ou tu la refourguerais à une recrue pour aller faire la fête avec tes camarades. Il faut dire qu'entre fêtards, vous vous entendez bien, et vous êtes souvent en retard le matin pour tout ce que vous êtes supposés faire en tant que soldats.
Fêtard, ça, tu l'es. Tu n'en loupes pas une pour faire la bringue, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur du camp, même si à l'extérieur c'est toujours mieux. A l'intérieur, vous êtes souvent les cinq mêmes de la bande à faire n'importe quoi, à boire et à jouer aux cartes jusqu'au petit matin, ou jusqu'à ce que tout le monde ait perdu au moins une fois aux jeux que vous inventez en même temps que votre taux d'alcool augmente.
Ceci dit, on ne peut pas te reprocher une chose : c'est d'être sacrément borné. Et sans ça, tu n'aurais sans doute jamais dépassé le stade de recrue. Pire, tu ne serais peut-être plus de ce monde, mais ça, on ne va pas s'éterniser dessus. Disons que tu as aussi eu de la chance, et tu as un peu l'habitude. Avoir le cul bordé de nouilles, ça te connaît, parce que tu n'es pas entré dans ce camp pendant ta prime enfance, bien loin de là. Tu y es même entré tard, et on se demande ce que tu y fais, certains jours. La vie rangée des soldats ne te convient pas, pourtant, tu es encore là.
Tu es là parce que tu n'as tout simplement pas le choix. Et on ne t'a pas encore enfermé dans les sous-sols du château, alors tu profites, parce que c'est vraiment tout ce que tu es capable de faire correctement.
Sans négliger tes devoirs de soldat, on ne peut pas non plus dire que ceux-ci t'enchantent, loin de là. Tu admets que tu t'en passerais volontiers, surtout après une soirée entière à faire les andouilles avec tes camarades de couloir, mais tu ne le diras pas. Surtout pas si un gradé passe dans le coin. Tu en as déjà pas mal bavé avec eux, et tu sais que certains ne t'aiment pas : ça tombe bien, tu ne les aimes pas tous non plus.
Certains ont essayé de te raisonner, mais c'était peine perdue. Tu n'as jamais été quelqu'un de raisonnable, sinon, tu ne planquerais pas de l'alcool ramené de la ville dans ta chambre, et tu aurais encore moins tenté de monter une distillerie — qui fort heureusement n'a jamais pu être achevée. Transgresser les règles, ça t'amuse un peu plus que ça ne devrait, mais tu n'es pas spécialement le genre de personne à te poser des questions, du moment que tu peux t'amuser. C'est tout ce qui compte pour toi : s'amuser.
Quitte à dormir jusqu'à midi le lendemain matin.
histoire
voyage dans le temps dans 3, 2, 1
Tu n'as pas tellement de souvenirs de ton enfance. La plupart sont flous, et la seule certitude que tu as, c'est que tu n'as jamais connu tes parents. Ce n'est pas très compliqué à deviner, tu n'as absolument aucun souvenir d'eux, même pas une vague impression. Rien. Quand il est question de ta mère et de ton père, c'est le néant complet.
Tu es natif de Skuld, ce qui peut expliquer beaucoup de choses — notamment ton tempérament de fêtard — te concernant. Tu as grandi à Skuld, élevé jusqu'au milieu de ton enfance par une parfaite inconnue que tu considérais et que tu considères toujours comme ta soeur. Tu n'as jamais vraiment su comment elle gagnait l'argent pour assurer votre survie, et tu n'as pas envie de te poser la question, c'était ta soeur, point barre, c'est amplement suffisant pour toi de savoir ça. Elle est morte quand tu avais six ou sept ans, et à partir de là, tu as dû commencer à survivre seul.
Tu as également appris qu'essayer de voler le capitaine d'une embarcation pirate est tout sauf une bonne idée quand on tient à sa vie, mais depuis deux ans que tu étais un gamin des rues, les risques, tu avais appris à t'en fiche le plus allègrement du monde. Tu avais déjà de la chance d'être envie, et la chance a décidé, ce jour-là, de ne pas te lâcher. Plutôt que de t'expédier par le fond, le capitaine que tu avais essayé de délester de sa bourse a préféré t'embarquer, la chose lui semblant sans doute être une punition plus appropriée pour un gosse.
D'un côté, il n'avait pas tort, parce qu'on ne peut pas vraiment dire que ton expérience en tant que pirate ait été des plus gaies. Entre les abordages et une ou deux tentatives de mutineries, tu as vu ton compte de gens passés par-dessus bord pour servir d'exemple, mais il y avait aussi de bons côtés à être sur ce bateau en compagnie d'un capitaine sensé qui t'a appris à lire, à écrire, et à compter. D'après ce que tu sais, c'était un fils de noble.
Qui avait décidé d'empapaouter joyeusement sa famille et le reste de la société en allant piller les mers. Tu dois bien avouer que tu t'en fichais légèrement, tout ce qui t'intéressait, c'était l'agitation à laquelle tu étais doucement accoutumé pour finir par l'apprécier.
C'est en compagnie de cette bande de joyeux drilles que tu as appris à faire la fête, accessoirement à faire n'importe quoi, et aussi à te battre. A la bagarre, tu te défends, avec ou sans arme, mais c'est tout plus facile quand on a quelque chose à balancer à la figure de l'adversaire.
Cette aventure a duré un moment. Un bon moment, jusqu'à ce que tu aies à peu près vingt-trois ans. Tu étais désormais un membre à part entière de l'équipage. Mieux que ça, tu étais capitaine, et ce que tu préférais c'était grimper aux haubans pour prendre de la hauteur et regarder l'horizon s'étaler loin devant toi, profiter du mouvement des vagues et de l'odeur salée du vent. La mer te manque, c'est indéniable, mais tu ne te risques plus vraiment à l'approcher.
Parce que quand la royale se mêle de quelque chose, elle s'en mêle bien. Un jour, vous vous êtes faits attraper. Bêtement, en plus, mais vous vous êtes faits attraper quand même. Feu ton mentor a servi d'exemple : pendu en place de grève pour s'être désigné comme capitaine à ta place. Pas à Skuld, c'était risquer de se faire massacrer par tous les habitants de la ville qui se gère elle-même depuis des décennies, bien contente d'être une place de forbans. La royale ne se risque jamais dans les murs de Skuld, elle sait que c'est complètement suicidaire. En revanche, sur l'eau, les navires comme celui sur lequel tu étais sont plus vulnérables, et après des années sans voir l'ombre d'une voile de la garde, vous faisiez moins attention.
Un mois dans un cachot, tu ne retenteras pas, et c'est pour ça que tu te tiens à distance de la mer, et de Skuld. Pour ça, et aussi parce que tu n'as tout simplement pas la possibilité de partir d'où tu es, maintenant. Pour les membres de l'équipage, on vous avait laissé le choix : mourir, ou intégrer un de ces camps bizarres, ces espèces de milices qui se tapent sur la figure pour savoir qui a le meilleur endroit du monde. Ou une connerie du genre.
Tu as préféré vivre et intégrer un de ces camps. Le choix était laissé à ce cher capitaine des gardes qui a décidé de t'envoyer chez les Frilägen. Tu le soupçonnes d'avoir joué la sélection au dé, ou à pile ou face, mais tant que tu restais en vie, ça t'était un peu égal.
Tu as donc intégré le camp, il y a à peu près cinq ans et demi. Tu as passé les pires jours de ta vie en tant que recrue, entre les brimades des gradés pour vous faire réagir et les bleus qui vont avec les entraînements. Les bleus, les entailles, et éventuellement quelques doigts cassés que tu espères toujours venger, à tes risques et périls. Tu savais déjà te débrouiller avec une arme entre les mains, et en combat rapproché, si tes techniques sont loin d'être conventionnelles, un gradé ou deux a eu la bonté de reconnaître qu'elles sont néanmoins efficaces.
Tu aurais pu avoir un grade, toi aussi. Si tu étais moins con, si tu étais moins insouciant, si tu te servais un peu plus de ta tête pour autre chose que faire n'importe quoi sous le nez de tes supérieurs autant qu'à leur insu, et peut-être aussi si tu te levais un peu plus tôt que midi le matin.
relations
les autres
raiksos Il a été tenté de le rejoindre, avant d'apprendre que c'était la même royauté qui voulait lui couper la tête qui finance ce camp. Il a très vite revu son jugement, et il n'en est pas plus mécontent, tant les récits sur le chef de camp Raiksos abondent, et ils ne sont pas tous joyeux ni flatteurs. | rakennus Ce n'est pas pour rien qu'il n'a pas décidé d'aller là-bas : il neige au moins dix fois par an dans ce camp-là, et il a l'air beaucoup plus strict que celui qu'il a choisi. Il laissera les fous qui veulent se retrouver dans cet endroit, mais très peu pour lui ! | frilägen Sans détester le camp, il ne l'apprécie pas non plus parce que c'est tout ce qu'il n'a jamais voulu s'imposer : la discipline, le sérieux, des horaires fixes et l'impossibilité de faire la fête aussi souvent qu'il le veut. Pire, il peut être puni pour la connerie d'un autre sans avoir le droit de le frapper après. |
civils Il était de ceux-là, il y a encore peu. Avant qu'on lui laisse le choix entre perdre définitivement la tête et s'enrôler dans un de ces camps bizarres. Depuis, il les regarde de loin en se demandant lequel des prochains abrutis qu'il voit va les rejoindre. | nomades Lui qui est très content d'avoir son petit confort, un lit dans lequel faire la larve et un toit au-dessus de sa tête, même s'il aime énormément voyager, ne comprend pas comment on peut passer toute sa vie sur les routes comme ça, sans jamais s'attacher à quoi que ce soit. Après tout, son bateau, c'était sa maison... |
qui ça ?
l'autre là.
AGE — [censuré] GENRE — ♫ UNE QUESTION ? — tu vas en poser d'autres ? D’OÙ NOUS CONNAIS-TU ? — de là-bas LE MOT DE LA FIN — fin ? |
- Invité
Re: #have fun // Pasi
Sam 3 Sep - 11:24
Le Canari valide, pasitufaisdesbêtises /out
Bon jeu ewe/
Re: #have fun // Pasi
Mer 23 Aoû - 21:22
Après cinq ans en tant que soldat, tu accèdes au grade de sergent instructeur, au moins de juin 173.
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