- Ástrid Njall
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Grade : Herboriste
Ástrid Njall | This will never end 'cause I want more
Mar 30 Jan - 22:27
Ástrid Njall
ft. OC- Unknown, tumblr
AGE — 22 ans SEXE — Féminin ORIENTATION — Spatulosexuelle, ou fougérotophile, ça dépend CLASSE — Guérisseur/seuse METIER — Herboriste CAMP — Civils c'est.. un camp ? Ou bien ? Je suis perdue. GRADE — // ARME — Sable. Je déconne pas, ça pique. Non, mais plus sérieusement, elle a un joli arc dont elle sait se servir. |
physique
Am I pretty ?
Taille : 1m62cm
Poids : 58kg
Carrure : Svelte, voluptueuse
Yeux : Vairons : un bleu (le gauche), un vert (le droit)
Cheveux : Brune ; cheveux longs ; ondulés naturellement
Peau : Pâle, nacrée
Vêtements : Son style varie selon le type d'étoffe qu'elle trouvera pour se coudre de nouveaux vêtements. Elle met principalement des robes, amples, mais en ce moment elle opte pour des corsets, avec des pantalons près de la jambe, des cuissardes à petits talons et une chemise aux manches bouffantes sous son corsage. Elle possède plusieurs types de capes, avec différents coloris pour s'accorder à ses vêtements. Elle opte pour une style plus "léger" quelques fois, ne mettant pas de chemises sous son corset.
Signes distinctifs : Tatouage sur le bras droit ; tâche de naissance sur la fesse.
When I look at my reflection, I see a lot of things. An ugly being yet still beautiful. A perfection full of flaws. Where the truth lies is up to you. Be proud to stand for who you are and who you want to be because nobody will do it for you.
caractère
"Stéphanie de Monaco !"
Que puis-je vous dire sur notre jeune herboriste ? Il y a tant de choses à dire, et tant à traire.
Ástrid est une personne que l’on peut qualifier de… Souriante. Elle n’aime pas cette tristesse qui règne en automne, puis qui se fait lente et stagne en hiver pour enfin disparaître au printemps, balayée par le chant des oiseaux pour enfin revenir à la fin de l’été. Les mois d’hiver ne l’enchantent pas, non. Ce sont les pires mois de l’année pour elle, car elle ne peut travailler dans de bonnes conditions. Notre grande rousse apprécie cependant le calme qui règne sur les étendues autrefois vertes, embaumant son âme meurtrie d’un voile calme et doux, immaculé. J’affirme entre ces lignes qu’elle est de nature souriante, mais ce sourire n’est qu’une façade. Un soi-disant prétexte pour penser, mais aussi faire penser, que tout va bien. Ce sourire, il est comme ces masques qui ornaient la chambre de cet homme qu’elle devait appeler « père », c’est-à-dire, faux. Elle-même ne sait plus discerner quand elle est habitée par la joie, la vraie.
Je pourrais aussi vous dire qu’elle est très bornée. Une fois qu’elle a une idée en tête, elle fera tout pour mener cette dernière à bien. Elle a un avis bien arrêté sur les choses, et même si elle sait qu’elle a tort, elle essayera de trouver le petit détail qui lui donnerait raison : vous la verrez ainsi souvent se mordre la lèvre inférieure, signe qu'elle réfléchit à une manière de se sortir d'affaire et de "gagner". Bizarre, non ? Elle n’y peut rien, c’est dans sa nature. Tout comme être généreuse. Donner, ne rien attendre en retour, telle est sa philosophie de vie. Elle aime à penser que ceci causera sa perte : à trop donner, on perd un peu de soi-même. Cependant, elle a toujours su garder une part de sérénité, étant douce de nature. Le monde que renferme son cœur est complexe mais serein. Mais, dans ce monde calme et doux, même ce vent si paisible peut passer d’une gentille brise à une bourrasque violente accompagnée de pluies déchaînées, reflétant son côté imprévisible. Ce côté de sa personnalité, elle ne l’aime pas. Ce côté de sa personnalité l’énerve : pouvoir, à tout moment, changer d’état d’esprit et passer de la joie au désespoir infini, passant par une colère noire ainsi qu’un moment de calme presque suspect... Mais vous verrez, vous vous y ferrez.
Bonne vivante, elle aspire à une vie sans regrets.
Sa chambre est remplie de dessins, de croquis de plantes, d’essais et de notes diverses et variées. Elle aime essayer de nouvelles choses, c’est son côté aventureux qui parle alors.
Je vous ai raconté plus tôt que la paix et le silence sont des choses qu’elle apprécie, mais elle n’aime pas la solitude, non. Elle essayera toujours de rester accompagnée, que son partenaire soit animal ou bien humain. Encore un trait qui prouve sa nature complexe.
Ástrid est bien trop bornée pour l’admettre, mais elle sait se montrer égoïste de temps à autre. Ce trait, elle le tient de sa mère, ou de tout autre membre de sa « famille » soit dit en passant. La jeune femme est, du reste, ambitieuse et pleine de talent. Elle sait ce qu’elle veut, mais ne sait pas comment obtenir ce qu’elle désir. Elle veut réussir, c’est sûr. Elle ne veut pas être oubliée non plus, ou être laissée seule. Quelques fois, je dois vous l’avouer, je n’arrive pas à la cerner. Rien n’est manichéen concernant l’esprit humain et son esprit tordu en est l’exemple.
Ástrid est une personne que l’on peut qualifier de… Souriante. Elle n’aime pas cette tristesse qui règne en automne, puis qui se fait lente et stagne en hiver pour enfin disparaître au printemps, balayée par le chant des oiseaux pour enfin revenir à la fin de l’été. Les mois d’hiver ne l’enchantent pas, non. Ce sont les pires mois de l’année pour elle, car elle ne peut travailler dans de bonnes conditions. Notre grande rousse apprécie cependant le calme qui règne sur les étendues autrefois vertes, embaumant son âme meurtrie d’un voile calme et doux, immaculé. J’affirme entre ces lignes qu’elle est de nature souriante, mais ce sourire n’est qu’une façade. Un soi-disant prétexte pour penser, mais aussi faire penser, que tout va bien. Ce sourire, il est comme ces masques qui ornaient la chambre de cet homme qu’elle devait appeler « père », c’est-à-dire, faux. Elle-même ne sait plus discerner quand elle est habitée par la joie, la vraie.
Je pourrais aussi vous dire qu’elle est très bornée. Une fois qu’elle a une idée en tête, elle fera tout pour mener cette dernière à bien. Elle a un avis bien arrêté sur les choses, et même si elle sait qu’elle a tort, elle essayera de trouver le petit détail qui lui donnerait raison : vous la verrez ainsi souvent se mordre la lèvre inférieure, signe qu'elle réfléchit à une manière de se sortir d'affaire et de "gagner". Bizarre, non ? Elle n’y peut rien, c’est dans sa nature. Tout comme être généreuse. Donner, ne rien attendre en retour, telle est sa philosophie de vie. Elle aime à penser que ceci causera sa perte : à trop donner, on perd un peu de soi-même. Cependant, elle a toujours su garder une part de sérénité, étant douce de nature. Le monde que renferme son cœur est complexe mais serein. Mais, dans ce monde calme et doux, même ce vent si paisible peut passer d’une gentille brise à une bourrasque violente accompagnée de pluies déchaînées, reflétant son côté imprévisible. Ce côté de sa personnalité, elle ne l’aime pas. Ce côté de sa personnalité l’énerve : pouvoir, à tout moment, changer d’état d’esprit et passer de la joie au désespoir infini, passant par une colère noire ainsi qu’un moment de calme presque suspect... Mais vous verrez, vous vous y ferrez.
Bonne vivante, elle aspire à une vie sans regrets.
Sa chambre est remplie de dessins, de croquis de plantes, d’essais et de notes diverses et variées. Elle aime essayer de nouvelles choses, c’est son côté aventureux qui parle alors.
Je vous ai raconté plus tôt que la paix et le silence sont des choses qu’elle apprécie, mais elle n’aime pas la solitude, non. Elle essayera toujours de rester accompagnée, que son partenaire soit animal ou bien humain. Encore un trait qui prouve sa nature complexe.
Ástrid est bien trop bornée pour l’admettre, mais elle sait se montrer égoïste de temps à autre. Ce trait, elle le tient de sa mère, ou de tout autre membre de sa « famille » soit dit en passant. La jeune femme est, du reste, ambitieuse et pleine de talent. Elle sait ce qu’elle veut, mais ne sait pas comment obtenir ce qu’elle désir. Elle veut réussir, c’est sûr. Elle ne veut pas être oubliée non plus, ou être laissée seule. Quelques fois, je dois vous l’avouer, je n’arrive pas à la cerner. Rien n’est manichéen concernant l’esprit humain et son esprit tordu en est l’exemple.
histoire
How it all began
Je pourrais commencer mon récit de la même manière que tout autre récit pourrait commencer. Cette histoire deviendrait alors semblable à toute autre histoire, avec le même fond, la même héroïne ennuyeuse et banale. Je pense, cher lecteur, que cette histoire ne mérite donc pas d’être racontée comme tous les autres histoires : en effet, je ne pense pas être une jeune femme parmi tant d’autres, non. Mon histoire n’est pas comme toutes les autres histoires, non.
On a raconté que la nuit où elle vint le jour, les étoiles brillaient dans les cieux. Enfin, c’est ce qu’on a raconté à tous, qu’ils soient amis ou membres de la famille. Il fallait bien qu’il y ait quelque chose de bien rattaché à la naissance d’Ástrid Njall.
Dans une pièce, austère, une femme est allongée, blême. Il fait froid, la lune est le seul astre qui se fait remarquer. Les étoiles brillent. Elle est seule et fixe le plafond de ses grands yeux noirs. On entre par la lourde porte : sa fille est en pleine santé, elle pleure à pleins poumons. On lui demande un nom. Elle n’y avait pas réfléchit. Elle espérait un garçon, pour être honnête. Ils espéraient un garçon, eux aussi, alors un nom pour une petite fille ? Elle se remit à fixer le plafond, et on continuait à l’appeler, à lui demander. Une femme, plus vieille, entra à son tour, sans se faire annoncer, sans un sourire. Il faudrait l’appeler comme sa mère, qu’elle disait. Pour un garçon, on aurait pu prendre le temps de choisir un nom qui lui porterait chance et bonheur, mais pour une fille, à quoi bon se prendre la tête, qu’elle disait. Alors comment serait-elle nommée ? La jeune mère se sentait mal, toute la pièce autour d’elle tournait. Des larmes coulèrent sur ses joues, de chaudes larmes sur ses joues glacées. Pourquoi ne pas prendre le temps de lui choisir un nom, à cette enfant ?
La mère savait quelle serait la vie future de sa fille, alors autant lui donner au moins quelque chose de beau, quelque chose que le monde dans lequel elle allait grandir ne pourrait lui enlever, une identité qui lui serait propre et quelque chose qu’elle pourra revendiquer comme étant le sien. Ce serait donc Ástrid, oui, Ástrid serait son prénom. On propose à la mère de voir son enfant juste née, mais elle refuse : à quoi bon s’attacher à un enfant qui n’a plus été le sien au moment où elle a accouché dans cette famille ? Un sourire satisfait se grave sur le visage de la vieille femme : ce serait le comportement à avoir pour une femme Njall. Et puis, c’est une fille, pardis ! Les larmes ne s’arrêtaient pas de couler sur les joues de la nouvelle mère, mais aucun son ne sortait de sa bouche, elle fixait le plafond et priait pour qu’on la laisse dormir, qu'on la laisse ne plus se réveiller.
Un homme, bien bâtit, à la chevelure rousse et aux yeux bleus perçants, fit son entrée : le père qu’ils disaient. Ulrik Njall, premier fils d’un premier fils, chef actuel de la famille Njall, une famille forte qui a toujours su récompenser la force et la bravoure de ses hommes et la dévotion absolue de leurs femmes. Cette famille, quoique discrète, a donné beaucoup d’hommes pour le combat, qu’ils disaient. La femme à terre, il l’aimait. Il l’aimait comme jamais on a pu aimer une femme, mais elle était frêle et fragile. Elle avait insisté pour avoir un enfant, malgré son état critique, et voulait donner un fils à son époux avant qu’elle ne quitte ce monde. Ses heures étaient comptées, elle le savait, alors elle s’était dédiée à son époux et à ses recherches dans la médecine des plantes pour soigner les combattants de la famille.
Ulrik alla s’agenouiller près de sa femme et essuya ses larmes : il savait qu’il allait devoir lui dire au revoir bientôt. Et l’enfant ? Il voulu voir l’enfant, mais alors qu’il se préparait à se relever, une main glacée le retint. Alors, une voix tremblante se fit entendre :
« N’y vas pas. Ne vas pas voir ce à quoi j’ai donné naissance. Tu n’as jamais compris les femmes, Ulrik… Elle perd sa mère, ne lui ajoute pas un fardeau de plus… Sa vie, elle sera affreuse, je le sais. Alors laissez Ástrid vivre en paix… »
La main froide tomba au sol dans un bruit léger. Des pleurs se faisaient entendre dans la pièce d’à côté. L’homme se releva, et c’est avec son air impassible qu’il ordonna à la vieille femme de prendre en charge l’enfant.
Après la mort de sa première femme, Ulrik se remaria à Vilaha. Ils eurent deux fils, Ljorris et Khan. C’est avec un goût amer dans la bouche qu’Ástrid apprit à survivre au sein de la famille Njall, une famille à l'apparence très fermée sur elle-même qui pourtant participait de manière active dans la vie du village.
Ástrid avait toujours été étonnée de voir ce défilé de femmes Njall portant ces pots emplis de feuilles séchées, de viandes salées mais aussi de baies jusqu'aux autres maisons un peu plus loin. Elle n'avait jamais pu y participer. C'était un moyen de se faire connaître des autres, de se montrer, de dire : "Bonsoir, je suis la nouvelle membre des Njall. Oui, je suis belle et plus fraîche que la rosée du matin. Ma peau est plus pâle que la lune, mes bijoux scintillent plus que vos lanternes." C'était cocasse. À l'intérieur de la famille, on avait un style de vie modeste et austère, mais en dehors, il fallait se montrer joyeux et accueillant, généreux aussi. Tout le monde connaissait tout le monde dans le village. Tout le monde interpellait tout le monde... J'ai dit tout le monde ? Eh bien, tous sauf Ástrid. Elle n'avait pas le droit de sortir en plein jour pour se mêler aux festivités ou bien à ce fichu défilé de pots. C'était un acte de partage, un moment qui semblait heureux, et elle aurait enfin pu dire : "Bonsoir, je suis un membre de la famille, moi aussi. Je suis également une habitante de ce village ! Regardez mes yeux plus brillants que des étoiles et ma chevelure de feu !" (bien sûr, tout ceci accompagné d'un mouvement d'épaule et d'un regard ravageur qui aurait su toucher les âmes de ces braves villageois. Ou villageoises. Elle n'est pas très regardante.)
La jeune femme a très vite développé un intérêt certain pour les plantes et la médecine naturelle, mais aussi l’étude des astres et constellations. Elle ne vivait pas avec tout le monde, cependant. En tant que première née d’un premier né, elle gardait une importance certaine dans la famille Njall, mais était mise à l’écart car le souvenir funeste de sa mère vivait encore avec la jeune femme. La seconde épouse avait certes donné naissance à deux fils, mais elle restait au titre de « seconde épouse », ce qui la ferait toujours passer après Ástrid, irritant Vilaha au plus haut point. Alors elle faisait ce que tous faisaient, elle l’ignorait, même si au fond sa présence devenait de plus en plus invivable pour elle.
La jeune herboriste avait appris à vivre seule, à jouer seule, à dessiner seule et appréciait ses escapades dans la forêt. Mais très vite, elle se rendit compte que la solitude ne lui allait pas. En voyant ses frères toujours entourés, elle se sentait encore plus seule et laissait son cœur se fermer hermétiquement à toute interaction sincère avec le monde.
Elle s’était bâtit une forteresse, un mur solide et préparait chaque jour que le soleil illuminait la manière dont elle allait montrer à tous qu’elle avait une valeur et n’était pas seulement la fille de « cette femme », mais bel et bien Ástrid. Une plaie avait été ouverte dans son cœur et personne n’a jamais rien fait pour la refermer. A chaque fois, a chaque nouvelle déception de la vie, elle essayait de guérir, cette plaie, mais en vain : elle se rouvrait à l’infinie. Alors, dans ces moments de déception, même si son armure semblait solide, elle se tournait vers les cieux et parlait aux étoiles, ou bien aux plantes. Rien de bien « fou » en soit.
Ástrid savait compter deux par deux et bander un arc. Elle savait se débrouiller et était devenue créative avec le temps. Pendant des années, elle s’était aventurée dans la forêt à la recherche de qui elle était. Elle rêvait de beaucoup plus, elle voulait toujours plus, aller toujours plus loin. Alors, le soir, elle sortait et allait admirer les lanternes au loin : un jour elle irait vivre au-delà de la plaine Audumla. Elle voulait voir l’océan, voulait savoir quelles plantes y poussaient, elle voulait parcourir des étendues enneigées et se perdre dans la Forêt Hóddmimir, celle dont la grand-mère parlait tout le temps.
Un matin d’Haustmánuðr, la jeune femme se leva aux aurores. Avec sa grand-mère, qui avec le temps avait appris à apprécier Ástrid, elle partit au sommet d’une colline. Au sommet de la colline, il y avait une maison qui semblait à l’abandon, mais on y vivait : un homme y vivait. Depuis des années, la demeure était habitée par un homme qui avait pour seul travail de faire passer les rites de passage à l’âge adulte des Njall. C’est avec une « épreuve » douloureuse et longue pour le corps et l’esprit qu’on pouvait passer le rite, qu’ils disaient. L’homme était surpris de voir qu’Ástrid avait déjà été chercher la pierre gravée dans la forêt et le pendentif enterré sous le grand arbre au sommet d’une autre colline. Il se mit à chanter, la grand-mère s’y mit aussi. Des feuilles séchées brûlaient. Tout devenait flou. Tout était fou. Ástrid savait ce qu’elle encourait pour effectuer le rite de passage sans cet homme qu’elle devait appeler « père ». Mais c’était son billet pour la liberté. C’était sa porte de sortie, et les astres étaient de son côté.
La douleur pour l’âme : se séparer des liens qu’elle semblait posséder avec sa famille.
La douleur pour l’esprit : se séparer de sa solitude et se construire de nouveau.
La douleur pour le corps : porter la marque d’une nouvelle ère, son tatouage.
Ce dernier dépend de ce que l’homme lit en vous, ce qu’il prévoit pour vous. Pour Ástrid, il voyait grand. Pour Ástrid, il espérait beaucoup. Cela se reflétait dans le tatouage qu’elle reçut. Un douloureux tribu qui signifiait tellement pour elle.
C’est dans la nuit qu’elle décida de partir, ne réveillant pas sa grand-mère qui l’avait pourtant suivie. La jeune femme avait de grands projets et ferait tout pour les réaliser. C’est armée de sa patience et de sa féroce envie de vivre libre et non plus de survivre qu’elle se dirigea vers Midgard, là où tous disaient que les rêves prenaient vie.
relations
And you are...?
raiksos Des combattants, des soldats, etc... Elle les voit comme de bons clients pour ses remèdes médicinales. Leur manque d'esprit et de distinction lui rappelle ses frères. Ástrid voulait les rejoindre, pour se rapprocher du Roi et vendre ses remèdes à la Cour, mais être cloîtrée dans un camp ne lui plaît guère. | rakennus On dit que seuls ceux qui sont prêt à vivre l'extrême y sont les bienvenus. Très peu pour elle. Ástrid a survécu jusque là, alors pourquoi réduire ses chances de survie en s'approchant trop près des Rakennus ? | frilägen C'est vert, couleur fougère, couleur épinard. Elle pensait que c'était le Jardiland du petit viking car la météo clémente est propice à la culture de différentes plantes... Mais non en fait. |
civils Elle veut une boutique, veut vivre à la capitale. Elle à des projets vous savez, et pas des projets du style "Valérie Damidot Scandinave", non, des grands projets, donc bon, il faut bien commencer quelque part avec la populace non ? | nomades Je parlais de la Valérie Damidot Scandinave mais là, y a rien à retaper ou à bâtir. C'est énervant. Tu viens de faire installer une petite peau de bête et là on te dit "on s'en va". Très peu pour Ástrid ! N.B. rester loin d'eux. |
Satania
Classy starfish
AGE — Si je vais avoir 19 ans au mois d'avril, que la capitale de la Corée du Sud est Séoul mais que un litre cinquante huit s'écoule d'une baignoire trouée toutes les heures, quelle sera la circonférence de mon pied ? GENRE — Orchidée. UNE QUESTION ? — C'est ce que le prof te sors à chaque fin de cours, ce à quoi personne ne répond. Je m'abstiendrais pour aujourd'hui dans ce cas. D’OÙ NOUS CONNAIS-TU ? — I was there before it became Kingdom of Yggdrasil.. Back then, it was.... *dumdumdum* Yggdrasil STREET (fighter). LE MOT DE LA FIN — Sköll ! |
- Invité
Re: Ástrid Njall | This will never end 'cause I want more
Mer 31 Jan - 2:01
Bienvenue amie herboriste ♥
Bon courage pour ta fiche ~
- Ástrid Njall
- Messages : 16
Inscription : 30/01/2018
Grade : Herboriste
Re: Ástrid Njall | This will never end 'cause I want more
Jeu 1 Fév - 19:04
Merci
- Rorik Tyvalar
- Messages : 70
Inscription : 22/12/2017
Grade : Dauphin
Age : 27
Re: Ástrid Njall | This will never end 'cause I want more
Ven 2 Fév - 1:23
Ce feat
je me disais je reconnaissais le style de quelque part
Selenada
Hâte de lire le reste
je me disais je reconnaissais le style de quelque part
Selenada
Hâte de lire le reste
- Loki
- Messages : 280
Inscription : 11/07/2013
Re: Ástrid Njall | This will never end 'cause I want more
Dim 18 Fév - 18:56
félicitations
« à l'aventure compagnons »
Te voilà désormais validé(e) ! Tu vas pouvoir aller arpenter les vastes plaines et les épaisses forêts d'Yggdrasill, faire plein de rencontres intéressantes... et maraver quelques goules au passage.
Afin de t'aider à te lancer dans le grand bain de l'aventure, voici quelques liens utiles
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A très bientôt dans nos contrées !
- Ástrid Njall
- Messages : 16
Inscription : 30/01/2018
Grade : Herboriste
Re: Ástrid Njall | This will never end 'cause I want more
Dim 18 Fév - 19:00
Merci Loki
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