- Rorik Tyvalar
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Inscription : 22/12/2017
Grade : Dauphin
Age : 27
déja vu (kaz)
Mar 9 Avr - 1:59
déjà vu
Prince qui se dérobe à ses obligations n'en n'est pas un qui dévoile pour autant. la cape cache ses traits à ceux qui le reconnaîtrait en début de soirée, recouvre cette chemise écrue aux larges manches jusqu'aux avant-bras puis resserrées. Le col et les poignets fermés par des cordons lacés sur des œillets tirés, tissu quelque peu abîmé qu'il se mêle plus habilement dans le décor à vrai dire. Le temps lui est compté pour chacune de ses sorties, temps pris à des sottises chéries, ses yeux sur les lueurs du soir et l'odeur des tavernes garnies. Prince encore curieux de son environnement n'avait point fini de visiter Midgard. Oh, il voudrait bien ordonner à ce qu'on lui fasse faire le tour d'un carrosse, mais l'inconvénient lorsqu'on est surnommé petit prince, c'est le regard des foules, les armées alignées suite à son passage l'ont toujours laissé perplexe. Rorik, à la place à n'être personne parmi ses braves gens, voyait en son cœur la signification de liberté s'écrire.
((ou du moins d'un semblant))
De civils fiers de présenter leur viande fraîchement battue et salée au fond de leur petit commerce, à des voyageurs aux confections plus originales que les autres, que ses petits agriculteurs et leurs légumes frais, fascination enfantine est celle de rorik. tant de possibilités s'offrent à lui l'excitent comme à chaque fois. Les mines se font fatiguées même si elles se présentent toujours souriantes lorsqu'il propose d'échanger quelques pièces contre de leur marchandise. Quelques poireaux dans son sac, le prince range ça tranquillement, la crème est à manquer. Il n'irait pas porter atteinte à l'égo aux cuisines en les remplaçant ce soir. c'était à but personnel, les poireaux à la crème avaient du succès, et à vrai dire l'idée de laisser ses subordonnés faire, bien qu'il s'agissait là de leur travail, prenait atteinte à son égo à lui plutôt. Prince qui à priori n'avait que pour bon instinct celui pour faire les desserts, voulait s'y frotter, naïvement. Sortie non pas trop loin du château afin de fuguer, prince, on pourrait te demander pourquoi. Pourquoi ne pas partir là, du jour au lendemain.
Prince qui se regarde un instant dans une flaque d'eau de pluies matinales, éclabousse le sol avec une mine plus sévère. Rorik sans affaire pour survivre n'allait pas se dérober de la sorte, il n'était pas stupide. Il ne sait pas encore ce qu'il le retient : le fait de se dire qu'une fois le pas fait il sera jeté, condamné, connu comme ce traite à son sang... rorik n'est pas si ((peu)) courageux. peu d'attention rorik, ça lui passe à côté, un bras habile, un sac volé.
((ah))
▬ au voleur ! crié de tous ses poumons, mais le prince ne s'arrête pas histoire d'alarmer les passants.
rorik d'une lame à ses côtés avait vite prit en chasse, suivait de quelques mètres l'individu. c'était un coin de midgard qu'il connaissait, truffé de détours mais également d'endroits plus étroits, raccourcis escaladés d'une finesse surprenante. prince amateur de parcours qui l'eût crû, persuadé qu'il arrivera à le coincer seul.
((limite si c'était pas plus pour ça que tu lui courais après, des poireaux tu pouvais t'en procurer à volonté. ça et l'adrénaline, cette impression d'être ce passant à qui on a volé le peu de bien, tu as envie de rire rorik et tu cours tu cours, à en perdre haleine))
((ou du moins d'un semblant))
De civils fiers de présenter leur viande fraîchement battue et salée au fond de leur petit commerce, à des voyageurs aux confections plus originales que les autres, que ses petits agriculteurs et leurs légumes frais, fascination enfantine est celle de rorik. tant de possibilités s'offrent à lui l'excitent comme à chaque fois. Les mines se font fatiguées même si elles se présentent toujours souriantes lorsqu'il propose d'échanger quelques pièces contre de leur marchandise. Quelques poireaux dans son sac, le prince range ça tranquillement, la crème est à manquer. Il n'irait pas porter atteinte à l'égo aux cuisines en les remplaçant ce soir. c'était à but personnel, les poireaux à la crème avaient du succès, et à vrai dire l'idée de laisser ses subordonnés faire, bien qu'il s'agissait là de leur travail, prenait atteinte à son égo à lui plutôt. Prince qui à priori n'avait que pour bon instinct celui pour faire les desserts, voulait s'y frotter, naïvement. Sortie non pas trop loin du château afin de fuguer, prince, on pourrait te demander pourquoi. Pourquoi ne pas partir là, du jour au lendemain.
Prince qui se regarde un instant dans une flaque d'eau de pluies matinales, éclabousse le sol avec une mine plus sévère. Rorik sans affaire pour survivre n'allait pas se dérober de la sorte, il n'était pas stupide. Il ne sait pas encore ce qu'il le retient : le fait de se dire qu'une fois le pas fait il sera jeté, condamné, connu comme ce traite à son sang... rorik n'est pas si ((peu)) courageux. peu d'attention rorik, ça lui passe à côté, un bras habile, un sac volé.
((ah))
▬ au voleur ! crié de tous ses poumons, mais le prince ne s'arrête pas histoire d'alarmer les passants.
rorik d'une lame à ses côtés avait vite prit en chasse, suivait de quelques mètres l'individu. c'était un coin de midgard qu'il connaissait, truffé de détours mais également d'endroits plus étroits, raccourcis escaladés d'une finesse surprenante. prince amateur de parcours qui l'eût crû, persuadé qu'il arrivera à le coincer seul.
((limite si c'était pas plus pour ça que tu lui courais après, des poireaux tu pouvais t'en procurer à volonté. ça et l'adrénaline, cette impression d'être ce passant à qui on a volé le peu de bien, tu as envie de rire rorik et tu cours tu cours, à en perdre haleine))
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