- Rorik Tyvalar
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Grade : Dauphin
Age : 27
Rorik Tyvalar [Fini]
Lun 15 Jan - 1:07
Rorik Tyvalar
ft. Spain de APH
AGE — 22 SEXE — M ORIENTATION — Hétérosexuel CLASSE — Bretteur METIER — Prince héritier à son grand désespoir. CAMP — Futur mécène des Raiksos GRADE — / ARME — Fleuret |
physique
"Saperlipopette, j'en perds ma salopette !"
Taille : 1m78
Poids : 69 kg
Morphologie : Uh H fin, des épaules alignés à la taille, une bonne souplesse et dextérité dans son enveloppe charnelle, moins de force physique dans les bras en compensation. Grandes jambes, abdos bien travaillés, doigts et clavicule fermes. Carrure droite, langage corporel ouvert, poses décontractées
Yeux : Jade, plus clairs sur l'extérieur
Cheveux : Courts, assez ébouriffés, les efforts pour les dompter ne tiennent jamais longtemps, châtains
Peau : Une légère teinte bronzé, assez sèche, Rorik vit le froid plutôt mal
Vêtements : Rorik a un certain goût pour l'habillage du peuple. Il le trouve plus simple, il s'en recouvre souvent avant de sortir au delà des murs. Il n'apprécie pas moins les vêtements plus ornées pour son rang. On ne le laisse pas vraiment délibérément courir dans les couloirs du château "habillé comme la plèbe", aussi charmant qu'il soit. Rorik prête tout de même forte attention à comment il s'habille - pour lui-même déjà, mais surtout parce qu'il le doit.
Signes distinctifs : Souvent vu souriant, plaisantin, taquin. Son rire est cristallin, eau qui coule sur la roche claire, belle et transparente. Il s'illumine lorsqu'il parle de voyages. Il a l'air de bien trop s'amuser.
caractère
"Le Prince ? C'est un grand garçon, par ça, je veux dire, littéralement un grand garçon."
Candeur, charme, affable, aimable, tu es ce qu'on dit de mieux de toi, Rorik. C'est pour cette même raison, que tu n'es pas fait pour être roi.
Pallier à ta vulnérabilité d'enfant, il te le fallait absolument. Resté dans un berceau même quand c'est toi que le roi porte dans ses bras, oui, les larmes te venaient comme la respiration, un signe qu'il faille que tu vives, que tu survives. Cajolé, enlacé, rassuré, guidé, tes craintes n'étaient que conséquences de l'anticipation que tu avais de l'univers. C'est ce même horizon qui t'as une fois fait verser des fontaines pour sa beauté. Elle résonne en ton âme, pourquoi vibrais-tu autant ? Tu as été conditionné à croire, boire les paroles de tes filiaux que tu aimais plus que tout au monde. Ils aimaient le monde, et les gens - ce modèle tu le calquas en sorte, pour te l'approprier. Tu caches tes onces de trop de sensibilité, celles qui rappellent pourquoi tu estimes que ce n'est à toi que revient le rôle de roi, celles qui pourtant devraient vous rapprocher toi et le peuple pour les mortels et humains que vous êtes.
Un régent n'a pas à être juste s'il le faut. Un régent règne sans forcément grand état d'âme, ne brille pas de sa sincérité ou sa bonté. Ce n'est pas tant l'acteur principal de la trame. Rorik, ce n'est pas toi. Toi, tu ne tiens pas en place. Toi, il faut courir pour te suivre, imiter tes moindres mouvements avant qu'on te perde de vue. C'est parce qu'on te suit dans tes bêtises que des choses arrivent. Tu glisses entre les regards plus facilement qu'à l'époque, la discrétion, souplesse devait devenir de tes forts, sans quoi tu ne sortirais pas d'ici. Tes forces sont celles qui cachent tes faiblesses:
Ton premier mécanisme de défense, Rorik, c'est que tu sois extraverti. En somme tu attirais les regards pour ta nature même. On te regardait parce que tu étais l'héritier mais surtout parce que tu avais cette forte tendance à te démarquer. Il n'est pas très rare d'entendre dire que tu es le soleil entre les murs du château, que tu égaies et flatte, que les convives se prennent au jeu auquel tu les guides. Parce que tu sembles si facilement extérioriser tout ce qui te tombe dessus, personne ne remarque ce que tu caches, là derrière les rideaux de la scène.
Ton deuxième mécanisme de défense, Rorik, c'est le rire. Le bouffon littéral de service, la boutade que personne n'a envie d'entendre très tôt dans la matinée ((mais qui fait rire le roi de sa voix grave et forte autour de la table)) c'est de ta bouche qu'elle s'échappait. Tu aimes taquiner et rendre légèrement tes proches, si ce n'est très mal à l'aise par tes manies, c'est plus fort que toi. On aurait dit que tu faisais des avances des fois, mais ça te dépasse. Tu taquines tout le monde, qu'une jeune femme le prenne comme un message personnel te rendrait rapidement embarrassé. ((Les quiproquos et toi avez cette relation assez spéciale, c'était difficile de vous dissocier, et pour cette même raison tu fus sûrement la cause de maux de crâne de beaucoup de servants, servantes et tuteurs à ta charge))
Ton troisième mécanisme de défense est une conviction personnelle qu'il existe une forme qui ait donnée vie à ce monde. Aurait-on à une autre époque appelé ça de la probabilité, des sciences, une divinité, ou une force inexplicable derrière la création de l'univers, tu n'en sais grand chose. Ce que tu peux dire, par contre, c'est que cette forme écrit les lois de l'univers par une suite de causes et conséquences, de chances, et d'opportunités - tel un arbre aux branches existantes avant que tu ne fasses un choix. Tu voudrais au mieux profiter de ce que tu puisses te permettre de faire, tu t'y entraînes plus que tu en as l'air. De l'ambition, tu en as. Tu trouves le courage de dire que tu vivras pour réaliser chacune d'entre elle. Est-ce pour cela que tu ne tiens pas en place ? Le temps te manque, prince.
Malgré ta sincérité habituelle, tu sais faire l'hypocrite et mentir, tu as été élevé pour y exceller. Conditionné par ton rôle tu l'as été et encore maintenant, toutes ces choses que tu as apprises, c'est toi, prince héritier, tes vérités et mensonges, tes acquis et innés. Parce qu'un souverain doit savoir être mauvais s'il le faut, quand ça te concerne tu es mauvais quand ça t'arrange, pas de très bonne foi, et d'essence égoïste à souhait. Tu laisses Aisleen décider pour toi parce qu'elle n'obstrue pas ta liberté ainsi, tu ne dis rien lorsque ton père t'adresse ce regard fatigué mais aimant. Tu comprends avec les années que ta peine, il l'a vécue et endurée. Aaren t'insulte des fois dans un manque de respect et paroles déplacées sans égal, ça te rend hilare. Les questions qu'ont Alrik sur ton intérêt au voyage et délaissement du reste te percent le cœur dramatiquement. Tu peux bien le faire parce que ces remarques ne t'atteignent plus au premier degré comme elles l'avaient fait à l'époque.
Rares sont ceux qui vivent pour voir ton plus froid sourire. C'est assez surprenant de te voir énervé, tu frappes sur la table sans aucun autre bruit et maintient ta stance assurée, tes yeux de jade se lèvent. Si tu as l'air parfaitement calme, ce ne sont que prétentions, tu bouillonnes, mais tu te retiens, oh que tu te retiens. Un simple sourire, mais tant de messages transmis à travers. Tu sais te faire craindre, car on ne te reconnaît pas à travers ta rage, ce n'est plus plaisant pour toi, ni pour personne.
Tu es têtu et déterminé.
Un don de persuasion à la clé
Car tu as été de ceux à bien se servir
A savoir ce que tu pouvais obtenir.
Un joueur un peu trop compétitif.
Quelque fois compulsif.
Tu parles bien beaucoup.
((On reconnaît ton vibrato de loin.))
Tu aimerais ouvrir une boulangerie Rorik
On te flatte comme on flatte les rares mais
Existants desserts que tu as pu faire
Le long de tes vingt-deux années.
Pour leur moelleux et leur chaleur
Pour leur douceur et leur beurre
Ils t'en parlent avec tant de bonheur.
Il t'arrive de laisser entrevoir dans la proximité
Ce toi à fleur de peau, derrière les miroirs
Qui ne peut être le reflet de ce que tu désirais
Autant que tu le voudrais.
Ils se tournent vers toi pour ta force d'esprit également
Tu es encourageant, Rorik.
Laisse les te montrer que tu peux encore plus faire pour eux
Montrer pourquoi il n'y a que toi qui soit digne d'être roi.
((Tu vas longtemps dénigrer cette vérité,
mais peut-être ne serais-tu simplement pas fait pour régner.))
Pallier à ta vulnérabilité d'enfant, il te le fallait absolument. Resté dans un berceau même quand c'est toi que le roi porte dans ses bras, oui, les larmes te venaient comme la respiration, un signe qu'il faille que tu vives, que tu survives. Cajolé, enlacé, rassuré, guidé, tes craintes n'étaient que conséquences de l'anticipation que tu avais de l'univers. C'est ce même horizon qui t'as une fois fait verser des fontaines pour sa beauté. Elle résonne en ton âme, pourquoi vibrais-tu autant ? Tu as été conditionné à croire, boire les paroles de tes filiaux que tu aimais plus que tout au monde. Ils aimaient le monde, et les gens - ce modèle tu le calquas en sorte, pour te l'approprier. Tu caches tes onces de trop de sensibilité, celles qui rappellent pourquoi tu estimes que ce n'est à toi que revient le rôle de roi, celles qui pourtant devraient vous rapprocher toi et le peuple pour les mortels et humains que vous êtes.
Un régent n'a pas à être juste s'il le faut. Un régent règne sans forcément grand état d'âme, ne brille pas de sa sincérité ou sa bonté. Ce n'est pas tant l'acteur principal de la trame. Rorik, ce n'est pas toi. Toi, tu ne tiens pas en place. Toi, il faut courir pour te suivre, imiter tes moindres mouvements avant qu'on te perde de vue. C'est parce qu'on te suit dans tes bêtises que des choses arrivent. Tu glisses entre les regards plus facilement qu'à l'époque, la discrétion, souplesse devait devenir de tes forts, sans quoi tu ne sortirais pas d'ici. Tes forces sont celles qui cachent tes faiblesses:
Ton premier mécanisme de défense, Rorik, c'est que tu sois extraverti. En somme tu attirais les regards pour ta nature même. On te regardait parce que tu étais l'héritier mais surtout parce que tu avais cette forte tendance à te démarquer. Il n'est pas très rare d'entendre dire que tu es le soleil entre les murs du château, que tu égaies et flatte, que les convives se prennent au jeu auquel tu les guides. Parce que tu sembles si facilement extérioriser tout ce qui te tombe dessus, personne ne remarque ce que tu caches, là derrière les rideaux de la scène.
Ton deuxième mécanisme de défense, Rorik, c'est le rire. Le bouffon littéral de service, la boutade que personne n'a envie d'entendre très tôt dans la matinée ((mais qui fait rire le roi de sa voix grave et forte autour de la table)) c'est de ta bouche qu'elle s'échappait. Tu aimes taquiner et rendre légèrement tes proches, si ce n'est très mal à l'aise par tes manies, c'est plus fort que toi. On aurait dit que tu faisais des avances des fois, mais ça te dépasse. Tu taquines tout le monde, qu'une jeune femme le prenne comme un message personnel te rendrait rapidement embarrassé. ((Les quiproquos et toi avez cette relation assez spéciale, c'était difficile de vous dissocier, et pour cette même raison tu fus sûrement la cause de maux de crâne de beaucoup de servants, servantes et tuteurs à ta charge))
Ton troisième mécanisme de défense est une conviction personnelle qu'il existe une forme qui ait donnée vie à ce monde. Aurait-on à une autre époque appelé ça de la probabilité, des sciences, une divinité, ou une force inexplicable derrière la création de l'univers, tu n'en sais grand chose. Ce que tu peux dire, par contre, c'est que cette forme écrit les lois de l'univers par une suite de causes et conséquences, de chances, et d'opportunités - tel un arbre aux branches existantes avant que tu ne fasses un choix. Tu voudrais au mieux profiter de ce que tu puisses te permettre de faire, tu t'y entraînes plus que tu en as l'air. De l'ambition, tu en as. Tu trouves le courage de dire que tu vivras pour réaliser chacune d'entre elle. Est-ce pour cela que tu ne tiens pas en place ? Le temps te manque, prince.
Malgré ta sincérité habituelle, tu sais faire l'hypocrite et mentir, tu as été élevé pour y exceller. Conditionné par ton rôle tu l'as été et encore maintenant, toutes ces choses que tu as apprises, c'est toi, prince héritier, tes vérités et mensonges, tes acquis et innés. Parce qu'un souverain doit savoir être mauvais s'il le faut, quand ça te concerne tu es mauvais quand ça t'arrange, pas de très bonne foi, et d'essence égoïste à souhait. Tu laisses Aisleen décider pour toi parce qu'elle n'obstrue pas ta liberté ainsi, tu ne dis rien lorsque ton père t'adresse ce regard fatigué mais aimant. Tu comprends avec les années que ta peine, il l'a vécue et endurée. Aaren t'insulte des fois dans un manque de respect et paroles déplacées sans égal, ça te rend hilare. Les questions qu'ont Alrik sur ton intérêt au voyage et délaissement du reste te percent le cœur dramatiquement. Tu peux bien le faire parce que ces remarques ne t'atteignent plus au premier degré comme elles l'avaient fait à l'époque.
Rares sont ceux qui vivent pour voir ton plus froid sourire. C'est assez surprenant de te voir énervé, tu frappes sur la table sans aucun autre bruit et maintient ta stance assurée, tes yeux de jade se lèvent. Si tu as l'air parfaitement calme, ce ne sont que prétentions, tu bouillonnes, mais tu te retiens, oh que tu te retiens. Un simple sourire, mais tant de messages transmis à travers. Tu sais te faire craindre, car on ne te reconnaît pas à travers ta rage, ce n'est plus plaisant pour toi, ni pour personne.
Tu es têtu et déterminé.
Un don de persuasion à la clé
Car tu as été de ceux à bien se servir
A savoir ce que tu pouvais obtenir.
Un joueur un peu trop compétitif.
Quelque fois compulsif.
Tu parles bien beaucoup.
((On reconnaît ton vibrato de loin.))
Tu aimerais ouvrir une boulangerie Rorik
On te flatte comme on flatte les rares mais
Existants desserts que tu as pu faire
Le long de tes vingt-deux années.
Pour leur moelleux et leur chaleur
Pour leur douceur et leur beurre
Ils t'en parlent avec tant de bonheur.
Il t'arrive de laisser entrevoir dans la proximité
Ce toi à fleur de peau, derrière les miroirs
Qui ne peut être le reflet de ce que tu désirais
Autant que tu le voudrais.
Ils se tournent vers toi pour ta force d'esprit également
Tu es encourageant, Rorik.
Laisse les te montrer que tu peux encore plus faire pour eux
Montrer pourquoi il n'y a que toi qui soit digne d'être roi.
((Tu vas longtemps dénigrer cette vérité,
mais peut-être ne serais-tu simplement pas fait pour régner.))
histoire
"Rorik nom à rallonge Tyvalar, un plasir"
Ton roi à toi c'est ton papa, le roi du monde avant d'être ton paternel. Celui dont tu parles fier, qui te conte des odes, récits de voyages qui te parlent de héros et de nomades aux terres bien au delà que tu ne puisses te l'imaginer. Tu avais compris être des importants, Rorik. L'amas de populace virevoltait autour de vous, c'était toujours souriant et sympathique, les visages se cumulaient, tu n'avais à l'époque aucun moyen de retenir leurs noms ((on finit par te forcer à apprendre par cœur l'arbre généalogique de ta oh grande famille oh toi, dauphin)). Leurs visages n'étaient pas tant souriants que l'étaient leur lèvres, cette contradiction se manifestait en toi dans une grimace d'une bien haute maturité à leur égard. Criser à l'idée que certains t’effleurent même, tes yeux larmoyaient. Tu venais agripper aux jupons de ta maman, petit prince, quand ta grande sœur te chasse parce que tu la colle bien trop. Tintant sons de verres, rires et lumières beiges de fêtes mondaines, les cadeaux pour ta personne sont nombreux, tu es au centre des regards. On te dit adorable, les joues un peu potelées. Ton cœur résonne infiniment touché par les attentions qu'on te porte, tu étais encore naïf à l'époque.
- Dans le berceau aux douces sonorités
Ainsi Maelgard vivra, à travers d'autres, à travers toi.
Il te dit qu'il espère que tu t'épanouira, qu'il ne sera pas là pour voir ça, mais qu'il fera tout son possible pour que tu y arrives. Bien sûr qu'il parle du trône, mais pas que. Étrangement, tu acquiesces.
- En un éclat, l'espace d'un courant d'air dans une chambre d'invité...
Tu fuyais un tuteur d'arts.
Qu'est-ce que courir ? Faire le choix de ne pas servir, même si honneur est en péril. Petits petons claquent le parquais comme en des cliquetis, lorsque compagnie te suit dans tes ((més))aventures, on te reconnaît via cet air amusé à fuir les autorités. Tu as encore le château à visiter, sept ans derrière toi; vivre couvé, tu n'en veux plus. C'est ce qu'un homme de pouvoir devait être pour toi, un homme libre. Ton père était peut-être le plus puissant des hommes à avoir pris sous son poids cette chaise au coût bien trop élevé pour son utilité, mais il était asservi, s'était volontairement asservi par la coutume - bien triste vérité pour cet enfant chez qu'il était inné ce sens indéniable de liberté naturelle.
- Tu ne comprend vraiment ta condition qu'en grandissant.
Tu consoles tes frères sans trop grande conviction d'abord, parce que tu es le second aîné, entre toi et Aisleen, mais le plus démonstratif des deux de son affection à travers ces maintes étreintes. Quand ils pleurent tu ne peux t'empêcher, tu renifles bruyamment, comme d'une manière comique et t'écries que tu vas être comme ta maman.
Qu'aimais ta mère, Rorik ? On pouvait en dire bien des choses en somme. Elle t'aimait toi, les petits, Aisleen. Elle aimait ton père, les convives, les robes, les bals. Elle aimait les gens. L'art de persuasion entre les lèvres, une aisance sans pareille à se mêler aux foules ((ce n'était pas ton père qui des fois arborait cet air lointainement fatigué à l'idée de recevoir des convives)). Tu tires d'elle cette capacité à trouver ta place dans n'importe quelle conversation, te dit-on. Tu n'es pas né avec tant d'aisance de parolier, la reine restait avec toi si tu pouvais faire vivre ce pouvoir qu'elle avait d'attirer les gens. Elle aura marqué l'histoire comme on espère que tu le fasse, comme on espère que tu la surpasse même.
Un lueur de malice derrière une apparente simplicité d'esprit, ta mère en était bien plus. Aimante, patiente, mais aussi déterminée et directe, tu es bien loin d'elle mais on dit que vous vous ressemblez.
- Peu d'échappatoires s'offrent à toi
- Et puis, Loki fut
relations
"BAM PLUS DE MUR BAM BAM BAM"
raiksos La maison, enfin pas tout à fait - il n'a même pas fini de visiter Midgard. C'est d'ici que prospère la paix, la capitale est à fois un pôle économique et touristique important, mais lorsqu'on lui dit Raiksos il ne s'empêche de penser aux gardes armées et leurs troupes séparées un peu partout. De bien fidèles forces, il connaît quelques visages personnellement parmi eux parce qu'il vient fréquemment leur adresser la parole. Il lui arrive d'entraîner sa lame contre plusieurs des soldats également en duel. | rakennus Le nord, une population aussi rigide qu'est la glace à ce qu'il entend dire. Il faut du sang-froid pour y survivre, c'est sûr. Il en connaît ce qu'il a pu lire des écrits. Leurs prouesses militaires, leurs ardus principes, accompagné toujours par ce sale temps qui les a forgés dur comme fer. Les relations entre ici et là bas se maintient difficilement en raison de la distance. Il n'en connaît pas personnellement, enfin, des visages, si, et ça a le don de l'embêter quelque peu. Rorik essaiera d'y remédier. | frilägen Rien n'est tout beau tout rose. Les quelques semblants de frictions avec Frilägen ne passent pas inaperçues. On le tient au courant parce qu'il le doit mais il ne se sent pas plus obligé de se pencher plus sur le sujet. Il aimerait s'y rendre pour leur bord de mer, c'est là que fût dessinée l'horizon que lui montra un de ses tuteurs d'art, le paysage qui en lui créa un déclic - comme quoi il lui faut aller le voir de ses propres yeux. |
civils Ceux simples aux vies complexes et remplies. Rorik aime proposer de l'aide rapide à ceux qu'il voit dans le besoin. Laveries aux petits marchés qui se font ici et là, c'est tant un autre niveau de vécu, discuter avec eux lui apporte toujours une nouvelle expérience avec le travail qui suit. Il lui reste encore tant de quartiers à explorer, de visages à rencontrer. Il comprend un peu mieux comment vivent certains, et ça il estime, n'a pas de prix. | nomades Vivre leurs aventures, quel un rêve éveillé serait-ce. En rencontrer lui garantit une bonne soirée, à discuter de leurs voyages et expériences, savoir ce qu'il en retourne dans ses endroits là qu'il n'a pas visité. Rorik est naturellement curieux à leur encontre, ce sens de liberté et d'indépendance est tout ce qu'il y a d'attrayant pour lui. Il aimerait embarquer en compagnie de certains. |
Yoppy
"je suis venue et j'ai vaincu"
AGE — 19 GENRE — Ornithorynque UNE QUESTION ? — Ai-je droit à un coup de chausson pour les citations absolument terribles que j'ai écris? D’OÙ NOUS CONNAIS-TU ? — D'un forum de partenariat LE MOT DE LA FIN — Spaghettis bolo > Spaghetti le reste |
- Loki
- Messages : 280
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Re: Rorik Tyvalar [Fini]
Lun 15 Jan - 10:43
Bienvenue officiellement, petit plaisantin !
Très joli début de fiche. J'ai hâte de lire la suite. 8)
A très vite. ~
- Rorik Tyvalar
- Messages : 70
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Grade : Dauphin
Age : 27
Re: Rorik Tyvalar [Fini]
Sam 3 Fév - 0:54
Je poste dire que j'ai fini ma fiche, mais ça m'étonnerait pas qu'il manque des trucs vu l'heure ou je la poste tho 8D
- Loki
- Messages : 280
Inscription : 11/07/2013
Re: Rorik Tyvalar [Fini]
Sam 3 Fév - 11:52
BONJOUR.
(voilà, je te mets ton propre smiley) (c'est pas magnifique ça ?)
Je n'ai quasiment rien à dire sur cette fiche, vraiment. Elle est complète, bien écrite, j'aime beaucoup ta plume et j'ai hâte deme faire embêter en rppouvoir t'embêter en rp. 8D
J'aurais juste deux petites remarques :
– Dans le caractère tu marques que Rorik est quelqu'un de croyant, mais il n'y a pas de religion à Yggdrasill, juste des célébrations aux deux solstices de l'année et une forte conviction que la nature ne fait pas grand-chose au hasard et qu'il faut faire avec
– Dans l'encart réservé à son avis sur les Frilägen, tu y parles d'une photo, mais on est encore un peu loin de l'invention de la pellicule
Du coup il y aura juste ça à modifier et tu pourras venir coloniser Midgard dans la joie et la bonne humeur /o/
N'hésite pas si tu as des questions ~
- Rorik Tyvalar
- Messages : 70
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Grade : Dauphin
Age : 27
Re: Rorik Tyvalar [Fini]
Sam 3 Fév - 13:11
yay le smiley personnalisé
je te c/c directement les parties que j'ai modifiées
je te c/c directement les parties que j'ai modifiées
Rorik a écrit:Ton troisième mécanisme de défense est cette forte conviction personnelle qu'il existe une forme qui ait donnée vie à ce monde. Aurait-on à une autre époque appelé ça de la probabilité, des sciences, une divinité, ou une force inexplicable derrière la création de l'univers, tu n'en sais grand chose. Ce que tu peux dire, par contre, c'est que cette forme écrit les lois de l'univers par une suite de causes et conséquences, de chances, et d'opportunités - tel un arbre aux branches existantes avant que tu ne fasses un choix. Tu voudrais au mieux profiter de ce que tu puisses te permettre de faire, tu t'y entraînes plus que tu en as l'air. De l'ambition, tu en as. Tu trouves le courage de dire que tu vivras pour réaliser chacune d'entre elle. Est-ce pour cela que tu ne tiens pas en place ? Le temps te manque, prince.
Rorik a écrit:Rien n'est tout beau tout rose. Les quelques semblants de frictions avec Frilägen ne passent pas inaperçues. On le tient au courant parce qu'il le doit mais il ne se sent pas plus obligé de se pencher plus sur le sujet. Il aimerait s'y rendre pour leur bord de mer, c'est là que fût dessiné l'horizon que lui montra un de ses tuteurs d'art, le paysage qui en lui créa un déclic - comme quoi il lui faut aller le voir de ses propres yeux.
- Loki
- Messages : 280
Inscription : 11/07/2013
Re: Rorik Tyvalar [Fini]
Sam 3 Fév - 13:20
Et tout il est parfait !
Te voilà désormais validé(e) ! Tu vas pouvoir aller arpenter les vastes plaines et les épaisses forêts d'Yggdrasill, faire plein de rencontres intéressantes... et maraver quelques goules au passage, qui sait ?
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félicitations
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